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Surcharge pondérale, obésité et diabète

On parle de surcharge pondérale pour un IMC (rapport poids/taille) de 25 à 30. De 30 à 40, il s'agit d'une obésité confirmée.  Au-delà de 40, il s'agit de l'obésité morbide

On parle de diabète quand le taux de sucre trop élevé dans le sang.  Glycémie à jeun > 110

 
Le premier stade avant le diabète est l’ insulino-résistance ou le pré diabète. Dans ce cas le taux de sucre reste normal au dépends d’une production excessive d’insuline (hormone qui fait rentrer le sucre dans les cellules). 
Cet état d’insulino-résistance est important à détecter car il est source de diverses pathologies chroniques et il favorise lui -même la prise de poids. 

Recherche de solutions

Nous devons faire face à de nombreuses tentations : Si nous étions entourés uniquement de protéines et de légumes, les régimes sans glucides comme les régimes Atkins, Kéto, south beach diet, etc…. fonctionneraient à long terme.

 

Mais nous sommes exposés à de nombreuses tentations et nous activons ainsi des circuits de récompense alimentaire (Dopamine, Sérotonine) qui nous rendent de plus en plus dépendants. Et lorsque nous forçons une privation il est fréquent que dès que nous remangeons les choses « interdites », nous avons tendance à rattraper largement les frustrations et les kilos perdus .
Pour cette raison, en plus d’un plan alimentaire adapté à la personne, il est souvent profitable d’ajouter quelques sessions de stratégies par rapport à son comportement alimentaire, à ses difficultés en rapport avec un plan alimentaire proposé. Il peut aussi être utile de faire quelques sessions d’hypnose souvent très efficace sur l’adaptation du comportement alimentaire.

 

Mais ce n’est pas tout  … 
 

Certaines personnes ont difficile à perdre du poids ou reprennent du poids facilement et semblent faire des efforts qui s’apparentent à celui qui nage contre le courant. C’est épuisant…..


Nous ne sommes pas tous égaux par rapport à la perte de poids et certains facteurs métaboliques peuvent expliquer ces différences. Par exemples, certains types de microbiotes intestinaux favorisent la prise de poids, une thyroïde mal équilibrée chez la femme peut favoriser la prise de poids, la résistance à l’insuline peut être induite par un mauvais microbiote ou par la prise de poids qui favorise elle-même la prise de poids. Un cercle vicieux en somme….

 

Un certain nombre d’examens peuvent être proposés, comme par exemple :

  • Bilan métabolique et hormonal

  • Bilan nutritionnel

  • Analyse du microbiote

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